Les mesures restrictives de liberté visent à protéger des patients présentant des troubles mentaux en cas de risque imminent de violence. Elles doivent être utilisées en dernier recours, après l’échec d’autres solutions, et uniquement sur décision d’un psychiatre. Des procédures dédiées doivent être mises en place (notamment en unité protégée) et la collaboration avec le comité éthique doit être poursuivie.

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